Sauvetage : d'après vous, de quelle espèce s'agit-il ?

Lilas, le sujet est un peu vieux !

Lilas et Lilo a écrit:

ceci est un bebe pic vert!!! J'en ai un chez moi qui est tombe du nid dimanche je le nourris jusqu'a son sevrage.  

Lilas, j'ai répondu dans ton post sur le pic vert que tu ne dois pas le nourrir jusqu'au sevrage. Il faut contacter la LPO qui te dira quoi faire. Il est INTERDIT de détenir des animaux sauvages, vivants, morts ou empaillés.
C'est une loi faite pour protéger la faune sauvage (pour une fois, ça change). Interdit de ramasser un animal sauvage même mort.
Éventuellement, s'il est blessé, on peut le prendre, le mettre au calme, puis contacter un centre de soin de la faune sauvage qui le prendra en charge, avec des gens compétents qui sauront quoi faire en fonction es espèces.

Je l'ai mis dans l'autre poste, mais je le remets ici, ça peut servir : le lien vers le site pour le Rhône, il y en a un surement dans d'autres régions :

http://rhone-alpes.lpo.fr/agir-avec-nous/secourir-la-faune-sauvage-1/article/les-centres-de-soins-de-faune

Je le cite :

Les animaux sauvages blessés trouvés peuvent être confiés à des centres de soins de faune sauvage.

Légalement, vous n’avez pas le droit de garder un animal sauvage. Seul son transport dans les plus brefs délais jusqu’au Centre de Sauvegarde le plus proche est autorisé.

Désolée je n'avis pas vu la date ><...

Pistachio a écrit:

Lilas et Lilo a écrit:

ceci est un bebe pic vert!!! J'en ai un chez moi qui est tombe du nid dimanche je le nourris jusqu'a son sevrage.  

Lilas, j'ai répondu dans ton post sur le pic vert que tu ne dois pas le nourrir jusqu'au sevrage. Il faut contacter la LPO qui te dira quoi faire. Il est INTERDIT de détenir des animaux sauvages, vivants, morts ou empaillés.
C'est une loi faite pour protéger la faune sauvage (pour une fois, ça change). Interdit de ramasser un animal sauvage même mort.
Éventuellement, s'il est blessé, on peut le prendre, le mettre au calme, puis contacter un centre de soin de la faune sauvage qui le prendra en charge, avec des gens compétents qui sauront quoi faire en fonction es espèces.

Je l'ai mis dans l'autre poste, mais je le remets ici, ça peut servir : le lien vers le site pour le Rhône, il y en a un surement dans d'autres régions :

http://rhone-alpes.lpo.fr/agir-avec-nous/secourir-la-faune-sauvage-1/article/les-centres-de-soins-de-faune

Je le cite :

Les animaux sauvages blessés trouvés peuvent être confiés à des centres de soins de faune sauvage.

Légalement, vous n’avez pas le droit de garder un animal sauvage. Seul son transport dans les plus brefs délais jusqu’au Centre de Sauvegarde le plus proche est autorisé.

C est un vieux sujet certes mais je précise que les nuisibles en fonction des départements ne sont pas concernés. J ai ramassé une corneille y'a deux ans j ai appelé la LPO il m'ont dit que s est un nuisible bilan qu'il serait euthanasier... D'ailler a Nancy a la pépinière il les tuent les soir a coup de bâton et les ramassent pour ceux qui tombe des nids ( et y'en a plein ! ) Bilan je l ai élevé et relâche chez moi au verger et elle est encore la elle squatte le jardin et réclame des restes voir pille la gamelle du chat mais elle est libre de vivre sa vie ...Elle vient elle part des fois des semaines.

schana54 a écrit:

C est un vieux sujet certes mais je précise que les nuisibles en fonction des départements ne sont pas concernés. J ai ramassé une corneille y'a deux ans j ai appelé la LPO il m'ont dit que s est un nuisible bilan qu'il serait euthanasier... D'ailler a Nancy a la pépinière il les tuent les soir a coup de bâton et les ramassent pour ceux qui tombe des nids ( et y'en a plein ! ) Bilan je l ai élevé et relâche chez moi au verger et elle est encore la elle squatte le jardin et réclame des restes voir pille la gamelle du chat mais elle est libre de vivre sa vie ...Elle vient elle part des fois des semaines.

Oui, hélas, le sort des nuisibles n'est pas enviable. Ils sont chassés sans discernement. Actuellement les renards sont exterminés par les chasseurs, car ils sont "nuisibles" !
Mais je redis que tout animal sauvage doit être laissé dans son milieu naturel.
Ta réaction d'appeler la LPO est la bonne. Prendre conseil auprès d'eux. Et éventuellement aider un animal blessé ou en danger même nuisible comme tu l'as fait si les associations ne veulent rien faire, mais en se renseignant quand même pour ne pas faire pire que le mal.
Pour nourrir un animal sauvage, surtout un petit, il faut savoir quoi lui donner exactement, pas n'importe quoi comme du lait avec du pain, qui ne convient pas à toutes les espèces.
Et par dessus tout ne pas détenir l'animal sauvage. Le laisser libre, lui mettre des points de nourriture et c'est tout. Et mettre ces points de nourriture loin des prédateurs ! Mettre des graines dans un jardin avec des tas de chats qui rôdent, c'est évidemment une énorme erreur : on attire les oiseaux pour qu'ils tombent dans les griffes des chats.
Parfois vouloir aider c'est pire que ne rien faire !

J ai déjà eleve un bouvreuil d un jour ( nid décime par les fourmis dans le verger ) c'était sport mais j ai réussis. Après oui faut avoir un peu de connaissances en oiseaux et reconnaître qui est qui on ne nourrit pas un jeune verdier comme un bébé merle ou plus dur encore un insectivore pur et dur.

En Suisse est-ce la même règle? Je vous assure j ai pas d'oiseau sauvage mais par curiosité. Je pense que oui

De toute maniere règle ou pas un oiseaux sauvage est mieux dans la nature j ai toujours relâché le mieux est près de jeunes sauvage j avais relâches 4 chardon aux vergers et j ai revu l un d entre eux l année suivante je l avait bague ... La Corneille est libre . Par contre pour les merles et les grives les jeunes sautent du nid et vive au sol les premiers temps donc un bb n est jamais abandonné . Le sauvetage de ce type d oiseau je le fais que qd le bb est blessé ou si il est en danger ( repère par un chat ou attaque par des pies ou corneilles 😥)

Moi mon chat allait s'en occuper du petit bébé merle alors on l'a gardé un moment il venait sur ma tête xd il restait dans la salle de bain avec la fenêtre toujours ouverte un jour plus revenu. Mais on l'avais appris à nous répondre quand on sifflait 3 fois et il nous répondait des fois et on pouvait le revoir

francky44 a écrit:

Tout le monde sait que les oiseaux sauvages ne doivent en aucun cas rentrer en contact et meme etre dans la même piece qu'un oiseau domestique.

Cette phrase, lue au détour de ce post, m'amène à poser une question toute bête :
- en volière extérieure, comment empêcher nos oiseaux domestiques d'être en contact avec les oiseaux sauvages ?

Personnellement, mes volières sont dans le jardin et les perruches à collier (retournées à la vie sauvage après erreur de manipulation dans un aéroport parisien) viennent souvent visiter mes captives.

Je ne vois pas très bien comment les empêcher de venir, sauf à rester devant le volière toute la journée pour les effaroucher quand elles viennent. Et je n'ai pas que ça à faire, je vais de temps en temps dans un lieu appelé bureau qui me sert éventuellement à gagner le pain quotidien les graines quotidiennes de mes perruches (et autres habitants de la maison).

Merci de vos éclaircissements sur le sujet, je me sens un peu bête.

Le contact se fait par le grillage je suppose. Tu peux peut-être installer un double grillage autour.

Tu as cet excellent posti-it sur le sujet :

https://www.perruche.org/t30620-la-prevention-des-risques-en-voliere-exterieure

Avant de construire ma volière, je pense avoir lu le post en question, parce qu'au sujet du sas (qui nous paraissait assez difficile à réaliser) on a préféré le système du rideau.

On a décidé de laisser le sol en terre battue, ce qui est plus naturel et les graines tombées au sol peuvent germer et leur faire une bain de verdure.

Pour cela, nous avions décaissé la surface de la volière, enterré un premier grillage épais, résistant aux renards (il y en a beaucoup ici), puis un plus fin, à l'épreuve des rongeurs et autres fouines, le tout agrafé aux poutres servant de base au grillage. Normalement, la "forteresse" est imprenable, nous avions essayé de penser à tout.

En revanche, non, nous n'avons pas doublé le grillage. Et maintenant, ça me semble difficile à faire. Les volières que l'on trouve dans le commerce, elles ont une double paroi ?

Ils sont si fragiles que ça nos oiseaux ?

Je peux paraître ignorante, mais quand j'ai accueilli mes perruches, en provenance de chez mon collègue, je ne pensais pas qu'un jour on les mettrait dans une grande volière extérieure. C'est mon compagnon qui a trouvé qu'elles seraient certainement mieux à pouvoir voler et qui m'a entraînée à sa construction.

En plus, tant qu'elles étaient "en couple" d'abord, "en famille" ensuite, elles ne s'occupaient guère de nous. Les quatre bébés nés à la maison, surnommés improprement Joe, Jack, William et Averell (elles se sont avérées être quatre femelles lol) étaient beaucoup plus familières.
Nées à la maison, manipulées dès leur jeune âge, elles se perchaient volontiers sur nous, restaient des heures dans les cous de mes filles, répondaient à nos appels, entraient et sortaient de leur cage sans crainte.

Pour nous, cela demandait quand même une attention de tous les instants, parce qu'avec deux chiens et deux chats, il fallait faire très attention que les uns ne croquent pas les autres.

Joe est morte cet été, la dernière de sa couvée, pourtant, elle avait un problème que je crois neurologique. Elle avait du mal à voler, tournait en rond sur elle-même au sol, et était assez malhabile.
Ce petit oiseau débile (au sens premier du terme) était une crème d'oiseau.

cathnarde a écrit:

Je ne vois pas très bien comment les empêcher de venir, sauf à rester devant le volière toute la journée pour les effaroucher quand elles viennent. Et je n'ai pas que ça à faire, je vais de temps en temps dans un lieu appelé bureau qui me sert éventuellement à gagner le pain quotidien les graines quotidiennes de mes perruches (et autres habitants de la maison).

Merci de vos éclaircissements sur le sujet, je me sens un peu bête.

cathnarde a écrit:

Ils sont si fragiles que ça nos oiseaux ?

Tu semblais demander une solution pour éviter le contact de tes oiseaux avec les autres, donc je t'en ai donnée une.

Vivre est dangereux, on risque à tout moment de mourir.

Le contact avec d'autres oiseaux peut potentiellement propager des virus. On se souvient tous de la grippe aviaire.

Mais l'origine de la propagation n'a jamais été claire : oiseaux migrateurs ou transport humain des volailles et des oiseaux de compagnie ?

En 2003, la FAO rappelait déjà : « Aucune évidence jusqu’ici n’indique que les oiseaux sauvages sont la source des présentes éruptions épizootiques du virus hautement pathogène de la grippe aviaire H5N1. Les oiseaux sauvages ne doivent pas être éliminés ». Ce message a été maintes fois rappelé3.

Certains ont pourtant volontiers et un peu rapidement incriminé en 2004/2005 les oiseaux migrateurs comme vecteur principal de diffusion du virus H5N1 HP, mais ça n’était et ne reste qu’une hypothèse plausible, à démontrer. On ignorait encore fin 2005 si les oiseaux pouvaient porter sur de grandes distances le virus hautement pathogène (sur les zones touchées, les oiseaux capturés autour des oiseaux morts n’étaient pas porteurs du H5N1, et on a ensuite trouvé peu d’oiseaux sauvages porteurs, voire aucun sur les grands axes migratoires).

Début 2006, la part de responsabilité des migrateurs n’est toujours pas claire.

Les extensions observées en Thaïlande et au Viêt Nam, puis en Afrique, et en Roumanie en juin 2006 semblent plus nettement accuser le transport humain des volailles ou des trafics d’oiseaux (le déplacement licite ou illicite d’animaux a de tout temps été un facteur majeur de propagation des épizooties. Les oiseaux sauvages sont le réservoir naturel des virus grippaux, mais généralement faiblement pathogènes). Les épizooties semblent se développer le long des routes, voire des voies ferrées (transsibérien), plus que le long des axes de migration aviaire, et aux dates leur correspondant. La FAO a mi-2006 conclu que le principal facteur de risque était plutôt l’élevage avicole industriel et le transport de volailles ou sous-produits contaminés.

Même les épizooties du Moyen Âge et postérieures pourraient pour partie au moins être liées aux activités humaines (Cf. élevage, transport du virus par les volailles et les armées, utilisation d’excréments animaux et humains contaminés comme engrais, absence de traitement des eaux usées avant rejet dans le milieu, déplacement massifs de populations aviaires suite aux grands assèchements de tourbières, marais et vallées humides, etc.).

https://fr.wikipedia.org/wiki/Histoire_des_%C3%A9pizooties_de_grippe_aviaire

Tes oiseaux peuvent aussi attraper un virus sans contact.

Et si tu les avais à l'intérieur, ils risqueraient les accidents domestiques, assez fréquents.

Donc à toi de peser le pour et le contre. Tu as une solution, si elle n'est pas applicable, il en existe peut-être d'autres, avec un peu d'imagination.

Je me suis mal exprimée au départ. Je suis tombée sur cette phrase :

francky44 a écrit:

Tout le monde sait que les oiseaux sauvages ne doivent en aucun cas rentrer en contact et meme etre dans la même piece qu'un oiseau domestique.

Est-ce une vérité vraie ou est-ce juste une extrapolation un peu excessive d'un membre du forum ?

Je suis la première à dire que la vie est une maladie mortelle.

S'il suffit de peser les avantages/inconvénients de la volière extérieure, avec les risques que cela comporte, versus rester à l'intérieur, ma position est prise et depuis longtemps : mieux vaut vivre plus intensément et moins longtemps que l'inverse (plus longtemps mais moins intensément).

Je me souviens du chat d'une voisine qui ne sortait qu'en laisse, de peur qu'il lui arrive un accident. Quelle vie pour un chat

Un enfant dans une cour de récréation court le risque de tomber et de se faire mal, mais c'est quand même mieux que de passer la récréation assis sur une chaise.

Je pense que la phrase de Francky44 était applicable au moment de l'épidémie de grippe aviaire où tous les volatiles domestiques devaient être enfermés pour ne pas risquer une possible contagion. En dehors d'une telle période, nos oiseaux peuvent aller dehors non ?

Tu le dis toi-même, le contact avec d'autres oiseaux est potentiellement dangereux, ça ne veut pas dire, je suppose, qu'il est totalement prohibé ?

C'était cela le sens de ma question.

Depuis que Saphir est seul, il réagit à tous les passages de perruches dans le jardin, il les entend bien avant moi. Il les signale avant même que je les voies se poser aux mangeoires (depuis une semaine, je suis confinée chez moi à cause de la grippe humaine). Même si ce sont des espèces différentes (perruches à collier dans le jardin), ce sont des perruches, il est évident qu'il leur parle. En faisant de l'anthropomorphisme, je dirais même qu'il les appelle. J'aimerais avoir un traducteur perruche->français pour savoir ce qu'il leur dit. A moi, il ne me parle pas, il a toujours peur des humains.

Merci pour tes explications, j'aime apprendre, essayer de ne pas commettre deux fois la même erreur.

cathnarde a écrit:

je vais de temps en temps dans un lieu appelé bureau qui me sert éventuellement à gagner le pain quotidien les graines quotidiennes de mes perruches (et autres habitants de la maison).

Très joliment dit !

Par rapport aux problèmes de petite Joe, ne découleraient-ils pas du fait que ses parents étaient père-fille ? Il me semble que tu évoquais une certaine consanguinité chez tes perruches ...

Il y a quelques années, certains de mes oiseaux ont eu la chance de séjourner la moitié de l'année en volière (et de me casser les oreilles puisque vivants dans ma chambre par temps froid, notamment les inséparables !). Effectivement, je pense qu'il y a des risques de transmission de diverses maladies. Fort heureusement, mes perruches n'en ont à ma connaissance pas été des malheureuses victimes.
Est-ce que tes perruches ont accès au sol direct ? Si c'est le cas, les vermifuges-tu ?

Katiastrof a écrit:

Très joliment dit !

Merci  

Katiastrof a écrit:

Par rapport aux problèmes de petite Joe, ne découleraient-ils pas du fait que ses parents étaient père-fille ? Il me semble que tu évoquais une certaine consanguinité chez tes perruches ...

C'est une éventualité envisageable. Les trois autres étaient parfaitement bien, heureusement c'est assez aléatoire, selon les lois de la génétique.

Katiastrof a écrit:

Est-ce que tes perruches ont accès au sol direct ? Si c'est le cas, les vermifuges-tu ?

Oui, elles ont accès au sol, non elles ne sont pas vermifugées. Mais si quelqu'un a la gentillesse de me dire quoi donner et à quelle posologie, je me ferais un plaisir de donner cela à mon petit Saphir.

Chiens et chats le sont, furette l'était, parce qu'ils mangent n'importe quoi et sont carnivores, je ne savais pas que les oiseaux avaient aussi droit à leur dose.

Il me semble que Bueno avait posé la question il y a quelques temps. Malheureusement, je ne trouve plus/pas le sujet en question.
Mais j'ai trouvé ça :
https://www.perruche.org/t14234-vermifuger?highlight=vermifuger

Edit : je viens tout juste de retrouver le sujet dont je faisais mention précédemment :
https://www.perruche.org/t34025-vermifuge-ou-pas

Ok, après avoir parcouru le post, je vois que les produits préconisés ne sont pas ou plus en vente.
Je demanderai donc à ma véto la prochaine fois que je la verrai.

Si elle ne sait pas, elle me dira qu'elle ne sait pas, elle n'est pas du genre à essayer de me vendre n'importe quoi pour arrondir son chiffre d'affaire.
Je préfère cela que de demander à ma pharmacienne qui a une connaissance limitée des produits vétérinaires.

Merci des infos

Avec plaisir !
La vétérinaire dont tu parles est-elle aviaire ?

Katiastrof a écrit:

Avec plaisir !
La vétérinaire dont tu parles est-elle aviaire ?

Elle n'est pas répertoriée dans les vétérinaires aviaires du site http://www.perroquet-perroquets.com/veterinaires-perroquets.php#france, mais elle est véto, et prend soin de TOUS mes animaux, y compris les sauvages quand il y en a (elle a soigné un geai à un moment où je l'avais en garde)

En cas de souci, elle m'aiguille vers un spécialiste ou vers Maisons-Alfort.

J'ai confiance dans ses diagnostics et elle exerce ce métier visiblement par passion, pas pour l'appât du gain.